Promenade en Lustrie ; Le RP !

Adrylin etais content de la victoire dés de ses camarades mais regrettait la perte de tous les morts, étant déçu de se trouver à bord de ce bateau il ne pouvait pas utiliser toutes les disponibilités magiques qu'il connaissait, néanmoins il avait aidé à guérir un nain et pour ça il était quand même fier même si ce n'était pas grand-chose.

Maintenant il fallait méditer et prier pour ses âmes égarées pour les menées a l'endroit où ils doivent y aller, donc je priai Karnos, je rentrai en transe pendant un long moment, et soudain je fis bousculer le bateau venait d'amarrer à un port, je montai sur le pont pour voir la ville qui ne manquait j'aimer pas trop la ville mais encore moins l'eau ça me permettrait de me dégourdir un peu les jambes.

Mais l'air du port était nauséabond, une odeur m'attira pourtant ça sentait bon je décidai de suivre cette odeur, qui me dirigea vers une auberge avec plutôt fière allure; je rentrai et m'asseyais à une table une demoiselle arriva et demanda ce que je voulais manger, je ne sus répondre mais par contre je lui expliquai que je voulais manger ce plat qui avait cette odeur, elle me dit que c'était la spécialité de la maison, je décidai de commander ceci.

Mon plat arriva et ressemblait à une tourte, aussitôt que je commençai à manger toutes les odeurs ce dégager du plat .
Je mangeai un super repas mais je ne savais pas que c'était payant venant de la fôret, la serveuse me demanda les sous pour payer le repas, je lui dis que j'étais désolé que je n'eusse pas. d'argent.

Un homme bourru et plein de muscle le demanda de le suivre dans l'arrière-boutique, j'acquiesçai il m'expliqua que pour payer le repas je devrais laver la vaisselle et faire les sols ce soir , je me dis de toute façon le bateau partira pas ce soir donc j'acceptai, la soirée fut rude l'auberge Étais très cotée et beaucoup de monde vénèrent dans la soirée mais comme j'avais bien travaillé, l'aubergiste me donna une chambre pour dormir .
Après une bonne nuit de sommeil je revenais au bateau en pleine forme bien reposer

Marhek garda les yeux rivés sur la sphère métallique.
Nombres de personnes sont passé devant le globe de métal sans y faire attention, mais le nain du chaos du chaos n'avait d'yeux que pour elle.

Et pour cause, elle ressemblait furieusement à ses bombes qu'il fabriquait quand il était encore au service de son défunt maître.
Rempli de poudre et de liquides inflammables, elles étaient des armes discrète, sans fioritures, mais pouvait faire flamber un homme comme une torche.

Marhek prit la sphère entre ses mains, et un sourire cruel se dessina sur son visage : elle était vide.
Il en acheta quelques unes pour une bouchée de pain, et il couru à travers la ville chercher les ingrédients nécessaire à la fabrication de ses explosifs incendiaires.

Il revint au bateau les bras chargés de paquets, s'empara de la caisse à outils et disparu dans sa cabine, désireux de libérer l'enfer sur les prochains ennemis qui viendront.

Retour à la civilisation.
Cela l'ennuyait car le goût du sang revenait plus vite après des heures d'apathie...
Elle prit un peu d'argent qu'elle avait laissé dans sa cabine. Même si ce concept monétaire lui était étranger dans ses terres d'origine, elle eut le temps de comprendre son fonctionnement lors de son séjour sur ce continent répugnant. Elle se vêtit de sa cape, la discrétion était de rigueur et un carnage n'apporterait rien de bon, pas si près du but. Elle l'avait déjà fait et ne dût sa survie que grâce à une audacieuse évasion. Un sourire lui vint suite à ce souvenir. Elle adressa une parole à Rigg et sortit.
Les activités humaines sur les quais étaient pitoyables, les odeurs immondes, les cacophonies insupportables.
Elle suivit de loin le Nain du Chaos qui n'allait probablement pas arpenter les ruelles les plus fréquentables, et c'est tant mieux, car c'est dans ces dernières que l'on trouve le plus de richesses. Elle finit par se retrouver dans une ruelle pavée étroite, puant l'urine et l'alcool. La lumière filtrait avec difficulté à travers les drapeaux et les linges accrochés, couverts de crasse. Cependant, les nombreuses enseignes qui oscillaient indiquaient qu'elle se trouvait au bon endroit. Elle s'approcha de deux hommes qui discutaient, visiblement à propos d'armes. Un rapide coup d’œil lui permettait de savoir qu'ils étaient habitués aux tavernes mal-famées, souvent consultés pour les basses besognes. Rien de dangereux, pour elle.
Ils l'aperçurent et commencèrent à ricaner, grand classique. Mais avant que l'un d'eux ne dise quoique se soit, un coup de genou bien placé fit s'évanouir un des deux hommes. Le sourire sur le visage de l'autre s'effaça aussitôt.
Elle trouva rapidement la boutique d'armes exotiques indiquée par le deuxième homme, bien plus loquace avec une oreille arrachée.
La boutique était sombre, la devanture discrète et la vitrine noire qu'on ne voyait à travers. Elle entra en poussant la lourde porte qui raclait le plancher. De la poussière.
Elle regarda attentivement les murs, couverts d'armes plus étranges les unes que les autres. Certaines paraissaient même de provenir de continents extérieurs, d'autres, dataient de plusieurs siècles. Elle repéra un fouet d'acier, barbelé et bordé de fines lames. "Origine : Naggaroth" disait l'étiquette. Une paire de Chakrams attira également son attention. "Origine : Tilée".
Mais elle ne remarqua pas le petit homme qui se tenait derrière elle tout de suite. Elle se retourna lentement, il ne bougea pas. Il continuait de la fixer derrière de petites plaques de verre placées devant ses yeux. Elle avait déjà vu cette invention, mais en ignorait le nom ainsi que le but. Après quelques instants de silence, elle lui présenta les articles qui l'intéressaient. Elle n'eut pour toute réponse qu'un raclement de gorge similaire à celui de sa porte d'entrée. Il prit les armes et disparut derrière les étagères pour réapparaître derrière son comptoir.
Elle appréciait son scepticisme et son silence. Il eut deviné assez rapidement que la personne devant lui n'appréciait guère les remarques. Elle déposa sa bourse sur le comptoir. Il commença à l'ouvrir et à compter méticuleusement tout en grognant quelques paroles incompréhensibles. Il n'eut pas le temps de continuer car la porte se rouvrit et une balle vint percuter le haut de son épaule, il en tomba à la renverse.
Cette même balle lui avait frôlé la joue. Elle haïssait ces armes à poudre noire. Elle haïssait les coups en traître.
Elle se retourna, et reconnu les deux hommes croisés un peu plus tôt. Celui qui venait de tirer visait mal, probablement parce qu'il pansait sa blessure à l'oreille avec son autre main. Ceux-ci semblaient bien décidés à laver l'affront qu'elle leur avait fait subir, du moins, d'après leurs dires entrecoupés d'insultes. L'un deux dégaina une épée grossière, peu souvent affûtée, donc ce n'était pas avec qu'il tuait, il devait avoir une lame dissimulée pour porter le coup de grâce. Elle se saisit du fouet barbelé qui s'enroula autour de son bras d'un coup sec. Les fines lames s'enfoncèrent dans sa chair et elle tira fortement pour mettre son adversaire à terre. Celui-ci hurla en lâchant son arme. Il dégagea son bras du fouet et couru en dégainant une fine lame de sa manche. Prévisible. Il ne devait pas avoir l'habitude de connaître de la résistance et il perdit ses moyens, un grand classique...
Un deuxième claquement de fouet le mit définitivement à terre, la gorge tranchée, les lames enfoncées dans les carotides, jugulaires et trachée. Atrocement précis et efficace, elle apprécia d'avance sa nouvelle arme. Le deuxième qui rechargeait son pistolet observa effaré le corps de son compagnon. Une seconde d'inattention. Il s'apprêta à tirer, la haine bavant le long de ses lèvres.
Le silence revint.
Elle aida le vendeur à se relever, celui-ci, malgré sa petite taille, semblait en avoir vu d'autres. Elle décrocha son fouet d'un coup sec tandis qu'il prépara sceau d'eau et serpillière, en vue du nettoyage qui s'annonçait. Elle accrocha fouet et chakram à sa ceinture et se dirigea vers la porte, quand le vendeur l'interpella d'une voie rauque, prétextant qu'il y avait trop dans sa bourse.
- Gardez la monnaie, dit-elle en retirant le deuxième chakram du crâne de l'homme au pistolet.
Et elle sortit.

Bien décidé à acheter de nouvelles armes Eugen alla dans un quartier qui abritait des armuriers. Après y être arrivé il entra dans un magasin d'armes nipponaises. En entrant dans la boutique il découvrit que le magasin était tenu par un nipponais assez âgé. Eugen était plutôt content car ainsi il pouvait parler nipponais avec lui. Commençant à discuter il s'assit  auprès de lui et l'aida à aiguiser les sabres alignés sur la table. Avant de partir il décida d'acheter des kunaïs et des shurikens. Il acheta aussi une arme étrange composé de deux armes avec un disque tranchant et un filin très résistant. Devant la surprise du vendeur il s'expliqua:
«Rassurez vous je sais la manier et je ne risque pas de me blesser. J'ai appartenu, et j'appartient toujours d'ailleurs, à une école qui en enseigne le maniement.
-Pourtant son maniement n'est enseigné que dans l'école Hyoho Niten Ryu.
-J'appartient à cette école. J'y ai appris les art martiaux durant 5 ans et j'ai su maitriser toutes les armes assez rapidement. J'étais le meilleur élève dans mon école. Mon maitre était d'ailleurs très proche de moi.
-Vous voulez parler d'Hitomi Gozen?
-En effet elle était mon maitre mais notre relation était spéciale. D'ailleurs voudriez vous bien lui envoyer cette lettre et ce pendentif.
-Bien sur, que contient cette lettre?
-Plusieurs choses en rapport avec notre relation.
-Je ne lirais donc pas la lettre. Je la lui remettrai en mains propre. Soyez-en assuré.
-Merci et au revoir.»

Juste avant de partir le vendeur l'interpella pour lui remettre une sacoche renforcée pour ranger les kunaïs et les shurikens qu'il avait payé.

En sortant du magasin Eugen glissa les arme à sa ceinture et les deux disques sur les filins dans sa ceinture. Après cela il se dirigea vers une taverne, celle où se trouvait Ruggel. Il entra lorsque le mot "tonneau" retenti dans la pièce. La seule chose que put penser Eugen fut:
«Les ennuis commencent je le crains»

Puis il commanda une bière et s'installa dans un coin sombre de la taverne comme si de rien était

Draemeth décida de s'offrir un bon dîner , toutes ces répugnances affiliées au chaos lui avait donner la nausée .
Il entra à "L'explorateur" seul enseigne qui lui paraissait digne dans le secteur.
Les tables semblaient toutes occupées , la serveuse lui demanda si cela le gênerait de s'attabler avec un marchand humain .

Draemeth lui fit que non et pris place près du marchand .

Sans interrompre sa discussion avec le convive qui avait l'air d'un voyageur sympathique , Draemeth esquiva d'un mouvement de tête une chope qui volait à vive allure .

Son interlocuteur médusé , un humain , n'avait pas vu le coup venir et il restait encore à se demander pourquoi .
Lorsque tout à coup une massue de bois vint fracasser la table ou les deux voyageurs étaient assis .
L'humain toujours planté sur sa chaise de surprise dégoulinait de vin rouge . Draemeth lui fit un haussement d'épaules et quitta sa place d'un bond pour s'enrouler derrière son agresseur en une feinte parfaite .
L'agresseur en manquant le mondain haut elfe frappa un ogre qui était en pleine discussion au bar .
Le collosse se tourna lentement et agrippa le querelleur par le col , le souleva du plancher et l'envoya valsé dans une rangée d'amphores de vin exotique .

La salle était bondée et plusieurs personnes se levèrent de leurs tables pour ne pas être prises au dépourvu .

Un nain se rua sur le voyageur humain rencontré par Draemeth et lui martela la tête de plusieurs coups de poings directs au visage .

Draemeth se mit à commenter la scène au malheureux qui faisait de drôles de hochement de tête sous les coups du nain :
 -"Mon cher je provoque souvent ce genre d'effets lors de mes sorties en établissement publique , vous m'en voyez navré" .
 
L'ambiance générale avait dégénérée en pugila et moult objets volaient dans tous les sens tandis que les poings se levaient et s'abattaient .

La foule , debout , qui emplissait la salle , oscillait comme une mer déchainée .

Draemeth à quatre pattes tenta de se frayer un chemin mais il fut vite bousculé par un jeu de jambes ... géant .

Il se sentit décoller du sol à son tour , tandis qu'une deuxième main le saisit à l'entre jambe , ce qui eu pour effet de lui provoquer une grimace .
Draemeth voyait l'ogre lui parler :

-"C'EST TOI QU'A FAIT CA !?! "

Sur ce l'elfe commença à tourner dans les airs en criant : " OoOoOoOoOoOh !!!"

Puis se fut le décollage ...
 Il se dit qu'a cet instant précis il savait ce que ressentait un plongeur de la mort gobelin .
Le mage valsa  sur un groupe d ' énervés   et ils se retrouvèrent tous à terre .

Mais le choc à peine encaissé et à l'envers , Draemeth entendit comme une charge d'ogre tambouriner le parquet . L'ogre se jeta en l'air d'un bond , les bras écartés et le sourire aux lèvres en criant : "KOWWWWAAA !!!"

Ils furent écrasés , violemment ! Ecrasés ...

Ce fut un "black out " avec comme dernier souvenir la douleur et une poitrine qui avait rétrécie de diamètre comme si cela était possible ???

Eugen venait de terminer sa bière quand il entendit un grand vacarme dehors. Laissant l'argent sur la table il s'élanca armé de son bâton. Il ne devait pas tuer les civils, il allait donc les assommer avec son bâton et user de magie pour éviter le combat rapproché au maximum. En arrivant dans la rue il vit un attroupement devant "l'explorateur" il se fraya un chemin au travers de la foule car il avait sentit l'aura de Draemeth dans cette zone. S'approchant du blessé écrasé par l'ogre il voulu se frayer un chemin parmi la foule qui lui bloquait le chemin au cas ou Draemeth serait de l'autre coté. Alors qu'il essayait de passer un ivrogne tenta de l'assommer. Lui saisissant le bras Eugen lui fit une clé de bras puis l'assomma du tranchant de la main. Les ivrognes de cette taverne ne valaient même pas un simple gobelin. Tout cela lui rappelais sa vie au Nippon après que son père se soit expatrié là bas pour apprendre de nouvelles façons de se battre. Il avait réussi à devenir plus fort mais pour ça Eugen fut martyrisé par de jeunes enfants mais se fut aussi comme ça qu'Eugen découvrit ses talents pour la magie à l'âge de 10 ans. Ses parents avaient longtemps refusés de l'envoyer à Altdorf puis ils avaient cédé lorsqu'il eu 20 ans lorsqu'ils apprenèrent la relation qu'Eugen et Hitomi Gozen entretenait. Ces pensés césserent lorsqu'il vit Draemeth écrasé par l'ogre. Tout en s'approchant il se prépara à lancer un sort au cas ou. Il tenta de négocier avec l'ogre mais ce dernier refusait catégoriquement car il n'avait plus de bière. Eugen lui offrit de payer une chope ou un tonneau mais il continua de refuser de se relever. Eugen appuya donc sa main sur le torse de l'ogre et incanta d'une voix vibrante et grave:"vindr gangá framr" [HRP]/ sort tornade/[HRP] un puissant vent repoussa l'ogre à quelque mètres de lui. Relevant Draemeth Eugen se rendit compte qu'il était blessé assez gravement. Il l'adossa à un mur puis se prépara à combattre. Ils avaient entre un quart d'heure et une demi-heure avant que la milice arrive.
«Faites que les autres viennent nous aider.»

Eugen commençait à désespérer lorsque Rugell arriva avec sa massue humaine. Il fauchait les badauds avec une facilité déconcertante. Eugen se ressaisit et usa de son bâton pour assommer les ivrognes qui tentait de l'atteindre, il esquivait, fauchait, assommait et frappait tous les ivrognes qui approchait de lui en tentant de le frapper. Apparemment aucun ne faisait les rapprochement entre son long manteau bleu et son appartenance au collège céleste et donc aux rangs des mages. Décidant de décourager les badauds il décida de rendre son aura visible. Il aurait voulu invoquer un sort mais il n'en connaissait pas la formule. Toutefois la lumière qui emmenait de lui fit réagir les moins éméché qui commencèrent à reculer comme si il avait vu un zombie. C'était souvent l'effet que faisait la vision d'une aura, même si l'effet de  celle des sorciers améthyste était plus fort. Il lui restait peu d'option. Ou bien il se battait jusqu'à l'arrivée de la milice ou bien il reculait pour incanter un sort et partir plus vite au bateau avec Draemeth il se tourna vers l'intéressé. Il savait que l'ogre pourrait se frayer un chemin rapidement. Il dit donc à Draemeth
«Je peu nous emporter assez loin d'ici mais il me faut du temps pour incanter. Ne serait-ce que quelques secondes. Si vous le désirez je le fait. Que préférez vous entre battre en retraite ou affronter tout ces adversaires?»
[HRP]/à toi encore une fois Mooxyalt/[HRP]

P.S. 500ème post!!

Draemeth écoutait le sorcier humain avec intérêt mais la vue de du deuxième ogre , leur compagnon , l'avait drôlement rassuré et malgré ses "mal de partout " il continuait d'assener des coups de sceptre aux envahisseurs de leur espace vitale .
Il s'écria : " NON Eugen ! Nous allons nous sortir d'ici , regardez ! "

L' ogre Rugell semblait joyeux au milieu de la bagarre et cette entrain redonna confiance aux 2 magiciens .

D'un seul coup des ivrognes se mirent à leurs jeter des pierres. Lorsque Draemeth refusa de fuir Eugen accepta de finalement combattre. Avant d'aller au combat il décida de se protéger des projectiles. Se reculant du combat il sortit son livre et incanta:"Ventum Azyr me defendet contra adversarios habeo. Scutum et formam vincit caelum. Que le bouclier d'azur soit!" Un bouclier luisant d'une lueur bleu recouvrit le bras du sorcier. Pour protéger ses amis il s'interposa entre la foule et eux pour les protéger, bon l'ogre était beaucoup moins vulnérable que lui et Draemeth car il était plus résistant qu'eux. Tout les projectiles qui le visaient ricochaient sur son bouclier et filaient dans la foule ce qui empêchait les plus proches d'attaquer directement. Eugen décida finalement de porter le combat dans la foule. Il saisit son bâton à une seule main et chargea dans la foule, les vents du bouclier empêchait les badauds de le frapper et Eugen se contentait de combattre et d'assommer les plus belliqueux afin de se frayer un chemin au plus vite. Il espérait que les autres suivraient car il sentait que la milice ne tarderait plus.

L'elfe s'avisa de suivre l'humain il était plus que temps de quitter cet endroit , l'ogre faisant grande diversion le jeu ne c'était que trop éternisé . De plus le simple fait de respirer le faisait souffrir .
Draemeth emboita le pas du sorcier .

Après être sortit de la foule Eugen passa dans les ruelles pour semer ses poursuivants. Il se servait du vent marin pour se guider vers le port. Sentant qu'ils étaient suffisamment loin de l'attroupement des badauds il décida de s'arrêter pour reprendre son souffle, visiblement Draemeth était beaucoup plus faible que lui et peinait à respirer avec ses côtes enfoncées. Eugen aurait bien sûr put le porter mais il aurait aggravé son état il réfléchissait encore lorsque quelque chose l'interpella. Il vit une bande de flagellants venir vers eux, ils étaient pourtant proche du temple de Sigmar. Il entendit des voix venir d'où ils étaient passés avec Draemeth. Elles étaient accompagnée de pas bien plus lourds que ceux d'un humain. Soit il s'agissait de Rugel soit c'était l'ogre qui avait fait son baptême de l'air qui voulait se venger. Eugen décida donc de continuer de courir le plus vite possible vers le port. Une demi-heure de course plus tard, entrecoupée de pose pour Draemeth il arrivèrent au port. Distinguant le brick d'où ils étaient descendu Eugen continua sa course vers le bateau. En arrivant sur la passerelle il vit Draemeth à quelques mètres du bateau. Le pensant capable d'y arriver il termina de monter sur le pont et fila vers sa cabine afin de se changer. Il partirait à la recherche d'Adrylin plus tard, il n'était de toute façon pas sur le bateau. Il y avait sur le bateau Eriël, Hirrh, Marhek et les hommes ainsi que le baron. Il n'y avait pas la capitaine et bien tant pis il ferait sans. Il se dirigea vers sa cabine afin de se changer et de nettoyer ses affaires. S'asseyant sur le lit il sortit son sabre et le nettoya cérémonieusement, après tout c'était un cadeau de son maitre qu'il avait reçu pour la fin de son apprentissage, après avoir finit le nettoyage il le rengainât pour le ranger. Alors qu'il allait ranger ses kunaïs il se ressaisit, il garda ses kunaïs et son sabre. Sortant de sa cabine il décida d'aller aider les marins qui ravitaillaient le bateau en eau. Après avoir transporté 4 ou 5 tonneaux dans la cale il décida d'aller méditer. Il s'assit à la poupe du bateau et posa ses armes à coté de lui. Il s'ouvrit tout entier au vent d'Azyr, ce contact avec son vent était incompréhensible pour les profanes, seul un mage pouvait vraiment le comprendre. Après avoir finit sa méditation il décida de s'entrainer au lancer de kunaïs, prenant le couvercle d'un tonneau vide il installa sa cible de fortune à hauteur de gobelin en la posant sur un tonneau de rhum. Ouvrant l'étuit de ses kunaïs il en saisit un à l'anneau qui se trouvait à l'extrémité du manche avant de le lancer. Il touchait la cible à chaque fois mais il manquait de précision, réutilisant une méthode déjà utilisée il propulsa le kunaï dans une sorte de "tunnel" présent naturellement dans l'éther. Et là il fit mouche à chaque coup. Le seul défaut était que cette méthode prenait du temps, peut-être que plus d'entrainement serait profitable. Décidant d'arrêter les kunaïs il décida de faire une activité plus reposante en allant observer les étoiles à sa place habituelle. Il continua de relever les positions des étoiles afin de repérer les risques possible grâce à ses compétence. Il continuerait les relevés durant le voyage afin de créer une carte du ciel plus complète pour la bibliothèque du collège.

                    Brorn se dépêcha de descendre du bateau, il en avait plus qu'assez de ces balades en mer, sans compter sur le fait qu'on lui permettait de quitter ces Elfes, chose qu'il attendait depuis le début du trajet. Sans se presser, il commença à explorer le quartier proche, dit "du port" et il vit quelques différents groupes hétéroclites de personnes qui se trouvaient ci et là sans que aucun ne semble prêter attention à sa présence en ville. Et c'était d'autant mieux, il n'aimait pas qu'on le dévisage en permanence, bien qu'il fut conscient que cela faisait parti de ses habitudes. Les échoppes de cette rue n'étaient visiblement pas trop mal entretenues, les aperçus des intérieurs qu'il arrivait à obtenir en tordant le cou étaient tout à fait convenables. Avant d'entamer une quelconque beuverie, il repéra les différents emplacements où la garde patrouillait et il choisit de rentrer dans une taverne d'apparence plutôt conviviale à l'abris des regards directs des groupes de sentinelles. (((Au cas où...))) Il ne prit pas le temps de lire le nom de l'enseigne et poussa la lourde porte cloutée déjà entrebâillée de l'endroit.

                   Comme à sa très grande habitude, tous les clients présents interrompirent leurs bavardages et leur attention se centra sur lui avec un œil suspect. Brorn remarqua que seuls quelques habitués haussèrent les épaules au bout de quelques secondes avant de se remettre à boire. Cette marque de confiance détourna d'ailleurs l'attention de la salle et les conversations jusque-là suspendues reprirent avec un peu moins d'entrain. Le Nouvel arrivant reconnut alors l'ambiance qu'il avait appris à apprécier de ces bâtiments si accueillants pour les Nains. Les musiciens présents sur un estrade au fond de la salle jouaient un air assez entraînant, l'odeur si caractéristique mélangeant bière, renfermé et nourriture se répandit vraiment rapidement et le Tueur décida de se laisser entraîner, après tout, il méritait un peu de repos. Il prit place sur un des hauts tabourets du comptoir et commanda une pinte de la meilleure bière que le serveur lui trouverait. Il n'avait pas remarqué l'insistance avec laquelle une sombre silhouette cachée dans un coin de la salle le fixait. Sa bière arriva et Brorn prit son temps avant de la finir, il ne la trouvait pas si mal que ça après tout et sut l'apprécier. Il en réclama une deuxième pour finalement la vider d'une traite. Et il en fut de même pour les quatre suivantes, il ne se sentait pas en état d'ébriété et il vit que quelqu'un se rapprochait de lui, et pas très furtivement en plus. Il sentit qu'on essayait de défaire le nœud qui maintenait sa bourse à sa ceinture de cuir et avant que le kleptomane ne puisse faire quoi que ce soit de plus, Brorn sauta de sa chaise en levant simultanément son marteau, et sans attendre une quelconque réaction, il l'abattit sur la main du détrousseur. Son initiative fut récompensée par un hurlement de douleur en même temps qu'il sentait les os se briser sous la force du coup. Toute l'attention de la salle revint à nouveau sur lui et les musiciens en profitèrent pour doubler le tempo de leur morceau, ils font toujours ça quand ils sentent que ça va dégénérer.

-"Non, non et non!"

                   Tenta le tavernier en essayant de limiter les dégâts mais ce fut trop tard. Il se dépêcha de décrocher le miroir derrière lui et ferma les placards à bouteille. Brorn rangea son marteau en le coinçant entre les liens prévus à cet effet dans son dos et se prépara à ce qui allait être un festival de coups. Le premier des adversaires lui sauta dessus, non sans écraser le pauvre voleur désormais au sol. Le tueur évalua la puissance de son lutteur en parant une de ses droites. Il le rangea dans la catégorie des faibles et le nain ne voulait pas plus patienter avant de se dégourdir les membres et envoya son poing du plus fort qu'il put en direction du nez de son adversaire. Sans s'attendre à une telle réaction, son adversaire esquiva sans peine et au lieu de lui rendre la pareille, son opposant sauta sur un autre homme dans la taverne, laissant Brorn seul et perplexe de ce qu'il venait de voir. Il lui vint alors une idée malgré la quantité de bière ingurgitée, et il sortit sans ménagement de ces lieux, poussant et frappant à l'aveugle au besoin. Une fois dehors, il se redressa en faisant tinter les anneaux accrochés aux différentes tresses de sa barbe. Il déclara de la voix la plus puissante qu'il put :

-"Baston pour ceux qui sont volontaires! Les autres je m'en chargerai!"

                  Par peur ou par envie, un amas de personne proches se rapprochèrent du tueur et celui-ci revint sur ses pas avant que la foule ne l'atteigne. Il força les gons de la porte du bâtiment et la fit sauter à l'aide de la tête de son arme. Les musiciens qui jouaient toujours sortirent les premiers en reprenant de plus belle leur musique très rythmée, précédés par la masse incontrôlable qui évacua en trombe la taverne. Il y eut un instant d'hésitation, puis un jeune se lança en hurlant dans la mêlée en frappant l'épaule d'un colosse. Le géant se tourna vers lui et d'un revers de main, l'envoya valser dans les bras d'un troisième individu. Et de là, la bataille recommença à dégénérer. Des morceaux de tissus, des dents et même des touffes de cheveux volaient au-dessus de l'indescriptible mêlée. Un tel raffut ne laissa pas les gardes indifférents et une petite formation de cinq patrouilleurs Hallebardiers ne tarda pas à rappliquer. Brorn se dit qu'il était temps de passer aux choses sérieuses et il entreprit de se frayer une sortie à l'aide de ses poings. Forçant le passage à travers l'attroupement qui s'était formé autour des combats, Brorn se planta au milieu de la rue, seul opposant à ces soldats. Il décrocha son marteau et en prenant appui sur le mur le plus proche avec son pieds, il poussa son corps en avant, donnant par la même occasion de la vitesse à son marteau.

                   Les gardes furent pris d'un vent de panique qui laissa à Brorn cette opportunité qu'il attendait tant. Il évita de peu l'extrémité de la lance du premier vigile et enfonça profondément la tête plate de son marteau dans la tête casquée de celui-ci. Les autres se ressaisirent et ils encerclèrent le Nain. Le premier piquier pointa en poussant son arme vers l'avant et le Tueur para sans problème cette initiative. Il lui rendit la pareille en faisant éclater la tête du lancier. Les autres soldats ne furent pas en reste et l'un d'entre eux avait réussi à plonger la pointe de sa hallebarde dans le flanc de son adversaire. Un frisson de rage parcouru le dos de Brorn. Il se tourna et envoya son marteau en même temps dans la direction de ce jeune imprudent. Le torse du malheureux finit littéralement broyé et le reste du corps suivi bien vite en tombant au sol. Il lui restait encore deux gardes qui hésitaient franchement à se lancer pour se défouler et il allait en profiter. Avant qu'ils ne se reprennent à nouveau, le tueur broya le manche d'une des lances en faisant tomber la lourde tête tranchante de l'arme pour amener le premier soldat à lui. Il lui attrapa la tête et lui fit un cou du lapin en appuyant le manche de son marteau sur la nuque de sa cible. Le dernier hallebardier en avait profité pour de nouveau enfoncer son arme dans la blessure déjà béante du Nain. Sifflant de douleur, celui-ci n'attendit pas qu'on, lui retire ça de sa plaie et fit valser la tête de la dernière des sentinelles. Il ôta la lame de son point affaibli et repartit malgré tout d'une démarche claudiquante en déversant du sang sur le sol des petites ruelles. Il fallait qu'il rejoigne le bateau, les dommages étaient trop importants et si jamais la garde rappliquait, ça se compliquerait davantage pour lui. Mètres après mètres, il réussit à atteindre le port et ce fut un calvaire pour Brorn de monter sur le pont. Une fois au centre du navire, le tueur fit un pas de plus, puis il s'écroula.

A bout de souffle Draemeth décida d'interrompre sa course folle en apercevant le brick et Eugen Lutz monter à son bord .
Il choisit de s'asseoir entre deux tonneaux sur les pavés froids du quai .
Tentant de reprendre son souffle malgré tout , il s'assurait en risquant des regards , que personne ne les avaient suivis jusqu'ici , il en était rien .
Il ressassait la scène du restaurant en identifiant clairement l'origine de la bagarre .
Un malandrin au regard malicieux envers lui avait du suggérer à un marin la bonne idée de lui régler son compte .
L'elfe leva la tête au ciel et se dit que c'était bien sa veine .
Soudain un bruit de caisses renversées le fit sursauter, il pencha la tête et aperçut une courte silhouette trapue et musculeuse tituber en direction de lui et du navire .

Au même moment des voix se firent entendre sur le pont du brick , le mage refixa son attention sur l'arrivant et reconnu Brorn le tueur nain qui passait devant lui sans le voir , en respirant fort , sa tête semblait vouloir l'emmener vers le bas .
Ce qu'il fit en s'écroulant arrivé sur la passerelle et sur le pont .
Les hommes d'équipages affairés avec des tonneaux furent interloqués .
Draemeth entendit un autre vacarme qu'il identifia comme celui des poursuivants du nain .
Il se leva immédiatement et s'approcha du pont du bateaux en hélant les marins :

- "Emmenez le dans sa cabine , vite ! Je m'occupe des bandits ! Stan toi reste ici et rejoins moi descends vite ! "
Le marin qui connaissait Draemeth s' exécuta et arriva à hauteur du mage .

-"écoutes je vais tenter de les raisonner , sois avec moi , dis comme moi ,si ça tourne mal rappelles les autres  attention les voilà ..!"

"Hé !!! vous las bas ! halte !"

Draemeth avait pris une pause faiblarde et voutée , un bras en appuie sur une jambe .
Il s'adressa aux gardes :

-"On m'a agressé , un fou furieux qui courait m'a envoyé valdinguer ! Si ce marin n'avait pas été sur le quai je serais tombé à l'eau !"

Stan le marin fit un mouvement affirmatif de la tête en déclarant :

-C'est un gros butor de nain !

-"Ou est il passé !?!"

Invectiva le chef de patrouille .

-"Parti par cette rue las bas" Draemeth se massait les cotes en leur désignant la rue opposée .

La troupe s'y engouffra en dévisageant les deux compagnons au passage . Ils n'eurent aucun mal à croire l'elfe qui semblait bien molesté . D'ailleurs ce dernier n'avait pas trop à jouer la comédie .

Le mage regardait la milice s'éloigner et fit à l'homme d'équipage :

-"J'en ai ma dose pour ce soir mon vieux ."

Les deux tournèrent les talons et franchir la passerelle disparaissant sur le pont du navire .

Du vacarme.
Il était aisé d'en deviner la provenance. Toujours à beugler, toujours à s'essouffler pour un rien. Elle arpentait la ruelle pentue et évita de justesse un client défenestré -heureusement pour lui, du rez-de-chaussée- qui s'écrasa sur un tapis de pavés et de verre brisé. Un hurlement guttural caractéristique ne laissa présager aucun doute sur l'identité du lanceur. Aucune classe, aucun esthétisme. Un rapide coup d’œil par la fenêtre brisée montrait que la bagarre en était au point culminant, et à en juger certains clients qui essayaient tant bien que mal de sortir de l'établissement, le vainqueur était connu d'avance.
Elle enjamba le défenestré et continua sa route, aucun intérêt à participer à un combat si facile.
Elle fut néanmoins interpellée par un client, une bouteille brisée à la main, un sourire auquel il manquait des dents et une puanteur qui lui rappellerait presque celle des pantins de Nurgle affrontés plus tôt. Il balbutia quelques paroles incompréhensibles et s'approcha d'elle en titubant.
Que croyait-il au juste? La menacer?
Pour toute réponse, elle se saisit de sa main tenant la bouteille contre le mur et écrasa son visage bouffi dessus. Réellement pitoyable. Elle s'éloigna en entendant derrière elle le cri d'un autre projectile humain...
Elle aperçu le mouvement de plusieurs troupes de milice. Si lents à réagir. Peu armurés, et ne semblant pas avoir beaucoup d'années d'expérience, elle sourit en pensant qu'il leur faudra une sacrée chance pour arrêter l'Ogre dans son euphorie barbare.
Cependant, un autre spectacle n'allait pas tarder à se présenter à elle. Elle reconnut un des Nains mercenaire, engagé contre cinq miliciens apparemment hésitants. Cette ville se souviendra de leur escale. Elle observa de loin ce spectacle, la main sur un chakram si les choses tournaient mal.
Le combat s'avéra décevant. Si le Nain avait certes du courage -ou une folie inconsciente-, ses méthodes étaient lentes et prévisibles. Heureusement pour lui que ses adversaires étaient pires. Le Nain fut blessé par un coup en traître, mais semblait l'ignorer. Aucun sens de l'esquive. Elle se demanda si elle devait intervenir. Elle se ravisa. S'il cherchait la mort, autant ne pas le gêner dans sa quête.
Quelques coups plus tard, le silence revint et cinq cadavres gisaient sur les pavés, ainsi qu'une traînée de sang se dirigeant vers le port. Cela pourrait s'avérer fâcheux de rester plus longtemps. Elle examina un instant les miliciens broyés. Trop faibles pour survivre. L'odeur du sang lui fit le plus grand bien et elle resta un moment immobile, comme en transe, savourant le parfum amer et sucré.
Elle fut interrompue par des cris et des pas rapides et organisés : une autre milice, mais accompagnée par quelques prêcheurs en guenilles qui psalmodiaient au nom de leur dieu inférieur. Elle jaugea son erreur un instant. La fuite n'était pas possible sans compromettre l'expédition, et ça, hors de question. Tandis qu'ils se rapprochaient, elle se saisit d'un peu de Koka et l'ingurgita. Elle devait cependant faire vite, ne pas leur laisser le temps de s'organiser, d'appeler des témoins. Comme pour répondre à cette idée, elle se saisit de ses chakrams et les lança un à un, fendant chacun le crâne d'un prêcheur. Elle dégaina sa lame courbe, assez vite pour parer le premier coup d'estoc, trop prévisible. Elle s'en dégagea d'un violent coup de pied retourné, en plein dans la trachée de son adversaire. Elle évita le coup circulaire d'une hallebarde un peu trop hésitante et le mit à terre d'un coup de coude dans la tempe, peu protégée par un casque de mauvaise facture.
Le dernier milicien tenta de lui asséner une taillade dans le dos, mais comme toujours, avec un hurlement qui supprima tout effet de surprise. Elle se saisit de son poignet tenant son épée et entraîna son adversaire avec elle, pour que ce dernier fasse office de bouclier humain au coup d'hallebarde qui s'abattit d'un coup sec sur sa nuque. Le milicien resta hébété devant son geste -manque flagrant d'expérience-, inattention qui lui coûta sa gorge tranchée l'instant d'après.
Un dernier prêcheur n'avait pas bougé depuis le début du combat. Il était revêtu d'une armure de meilleure qualité que celle des miliciens, un marteau gravé accroché à sa ceinture, et un stoïcisme qui en disait long sur son grade hiérarchique. Celui-ci n'esquissa pas le moindre changement sur son faciès et décrocha son marteau, le faisant tourner plusieurs fois sur lui-même tout en s'approchant. Trop calme, trop sûr de lui. Parfait.
Tandis qu'elle ne le quittait pas du regard, celui-ci marmonna quelques paroles et son marteau fut entouré d'une aura blanchâtre. Il frappa vite, son coup frôla son visage et l'impact explosa quelques pierres du mur d'une bâtisse. Elle ne pouvait donc pas parer au risque de perdre son arme. Elle se saisit du bout de sa lame avec sa main libre pour accompagner chaque coup de son adversaire afin de créer une ouverture. Le second coup ne se fit pas attendre, rapide, brutal. Elle n'avait pas l'habitude d'être sur la défensive, ce genre de situation ne pouvait que mal se terminer. Elle réussit à accompagner le troisième coup le long de sa lame et un rapide coup circulaire lui entailla le visage.
Peut-être surpris, mais surtout enragé, l'expression sur son visage changea. Son bras devint incandescent et créa une explosion flamboyante quand il dirigea celui-ci vers elle. Le souffle la projeta quelques mètres en arrière, et retomba violemment sur les pavés. Elle était brûlée. Elle ne le savait pas par la douleur car elle ne la ressentait pas, mais par ses habits dévorés et rétrécis et l'odeur de soufre ambiante. Il n'attendit aucune réaction de sa part, et seuls ses pas lourds et hargneux lui donnèrent le réflexe de se rouler légèrement sur le côté pour éviter un nouveau coup qui réduisit des pavés en miettes. Elle lui asséna un coup de poing dans l'articulation de son bras qui tenait le marteau pour le faire se baisser davantage et lui agrippa le cou qu'elle mordit sans retenue. Il hurla enfin et tenta de se dégager, sans succès. Tandis que ses dents s'enfonçaient encore plus profondément dans sa chair, elle souriait. Le sang coulant abondamment, les hurlements de plus en plus faibles... Elle se retira de sa victime d'un coup sec, son adversaire mit genou à terre, tentant de stopper l’hémorragie. Son regard avait changé, il implorait la pitié, du moins, c'est ce qu'elle comprit, car ses cordes vocales étaient arrachées. Elle se saisit du marteau et frappa le prêcheur au visage, qui vola en éclats jusqu'aux oreilles dans une cacophonie de craquements répugnants.
Elle se calma et regarda rapidement aux alentours, tout en récupérant ses Chakrams enfoncés dans les boîtes crâniennes. Personne. La ruelle était discrète et étroite, mais le vacarme causé par le combat pourrait avoir attiré l'attention. Il fallait vite retourner à l'embarcation.
Elle considéra le marteau qu'elle avait encore en main. Il n'y avait plus d'aura, mais était de facture excellente.

- Un petit souvenir, dit-elle en courant vers la Méduse.

La méditation du sorcier d'améthyste avait été reposante. Ses forces recouvrées, Hirrh en sorti progressivement jusqu'à au moins ressentir les présences autour de lui.

Le sorcier continua malgré tout à méditer quelques temps, jusqu'à sentir les auras de deux magiciens arriver sur le navire, dont une visiblement affaiblie. Sortant de sa torpeur, Hirrh se leva doucement pour pouvoir se rapprocher et observer ce qui se tramait. Restant à bonne distance, le sorcier d'améthyste pu voir le druide et le sorcier céleste arriver sur le pont. Hirrh n'esquissa pas la moindre approche, et se contenta de rester près du bastingage à observer. Le nain revint également blessé, suivi de l'amazone après son bain de sang, et enfin l'ogre.

De toute évidence, ses camarades n'avaient pas su se tenir en ville, hélas il n'y avait cependant rien d'étonnant à ça. Hirrh trouvait ça déplorable et souhaitait repartir au plus tôt vers leur destination.

*Ça, c'est intéressant*

La milice de la ville montée à bord, Hirrh se rapprocha discrètement pour suivre l'échange tendu entre le capitaine et celui qui de toute évidence était le chef de l'ordre -ou tout du moins un membre important- dont l'amazone semblait avoir tué un membre.

Les deux hommes parvinrent par la force des choses à un accord évitant de peu le drame. Il faudrait donc composer avec un nouveau membre d'équipage.
Depuis l'ombre de son capuchon, Hirrh jeta un regard noir au répurgateur et sembla le jauger pendant un long moment, au point de perdre le fil de la discussion. Cet homme était dangereux, c'était une évidence. Quoi qu'il en soit, le bateau allait enfin repartir, et cette idée ravissait le sorcier, estimant que trop de temps avait déjà été perdu.

La Méduse repris finalement la mer, de nombreuses péripéties attendent encore le groupe, et sûrement bien plus dangereuses qu'une rixe de taverne. Hirrh souhaita un instant que tout se passe sans accroc, avant de se raviser tout seul, sachant pertinemment que ça ne serait pas le cas...

Alors que Hury était étalé par terre et que l'amazone couverte de sang était là avec sa nouvelle acquisition Rugell arriva en courant, il disait que la milice arrivait? On pouvait dire ça en effet, un prêtre-guerrier était là apparement prêt à tuer si néscessaire. Lorsqu'il déclara que l'un d'eux était disciple du Chaos son sang ne fit qu'un tour, il réussit toutefois à se contrôler. Heureusement car Jaeger, cet inquisiteur assez bien armée allait apparement les rejoindre. Une fois ce dernier à bord et la milice repartie il rangea les quelques centimètres de son sabre qu'il avait sortit de son fourreau. Il décida de vite retourner dans sa cabine pour méditer puis il changea d'avis il alla donc méditer sur le pont, en entrant ainsi au contact de l'air sa méditation serait plus facile et plus efficace.

           Une fois installé pour sa transe il se laissa aller en paix pendant plus de deux heures. Lorsqu'il en sortit enfin ils étaient déjà loin du port et le vent était parfait. Il n'y avait aucune trace de l'inquisiteur Jaeger mais Eugen garda malgré tout le symbole de son ordre bien en évidence. Il doutait de l'efficacité de cette méthode mais pourrait tout de même réduire les éventuels soupçons qu'on pourrait avoir à son égard.

            Puisqu'il s'ennuyait un peu il décida d'aider l'équipage dans les manoeuvres. Il appréciait beaucoup de faire des travaux manuels comme ceux là. Il aidait l'équipage à faire les noeuds sur les cordages pour changer l'orientation des voiles et si il falait il redirigeait le vent pour qu'il soufle exactement dans la bonne direction ce n'était pas difficile mais ça restait plaisant à faire, travailler comme de simple humain lui permettait de s'occuper physiquement tout en reflechissant tranquillement. Il n'avait pas grand chose à faire malgré tout et, ne sachant pas vraiment quoi faire il déambula sur le navire jusqu'à finir devant la salle où le capitaine les avait informé. Il hésita à entrer puis décida finalement de ne rien faire. Il repartit donc sur le pont, cetge promenade lui avait donné une idée. Au risque de déranger Eriël il monta en haut du mat dans la vigie pour installer son télescope. Il commença à repérer les constellations visibles puis finit, par recoupement et après plusieurs calculs astronomiques, par les situer sur la carte céleste. Redescendant sur le pont il déplia une grande carte du monde et par transposition les situa sur une carte du monde. Ils approchaient bien des côtes de Bretonnies. Il espérait qu'il n'y aurait pas d'escales là bas. Il n'aimait pas du tout ce pays.

          Décidant de faire autre chose il arrêta d'aider et alla à la proupe pour réviser et apprendre des sorts. Il avait déjà des "raccourcis" pour les sorts blizzard, tornade et foudre d'Urranon. Il y avait des variantes de sorts nombreuses mais il ne les connaissait pas toutes. Il pouvait utiliser déjà 13 sorts mais pour 10 d'entre eux il avait besoin de son livre de sort il commençais à comprendre la plupart des plus simples, qui était surtout des sorts de soutiens sauf deux, un qui causait quelques dégats, une variante de la foudre d'Urannon, et un sort qui lui permet de se transporter. Eugen commença donc à réciter des sorts mais sans en appeller à la magie. Plus il récitait plus les sorts l'imprégnait. Il lui faudrait malgré tout beaucoup plus de temps pour les connaitres parfaitement et posséder un de ses "racourcis" que chaque sorcier découvre au fil du temps pour tout les sorts qu'il connait et peu donc les invoquer plus facilement. Il lui fallait tout de même un peu de temps pour faire ça mais il allait y arriver. Il commença à repenser à la dernière bataille lorsqu'il se rappella ce qu'il s'était juré, ne pas laisser d'autres morts qui auraient facilement put être évitées. Il alla donc prendre son sabre et déposer sa robe de mage dans la cabine pour la remplacer par un kimono pour s'entrainer. Une fois sur le pont il commença par s'échauffer par des mouvements très simples et basiques. Puis il débuta des mouvements de plus en plus complexe qui comprenait les coups en "tsuki" ou d'estocs et des coups de taille verticaux et horizontaux qu'il enchainait de plus en plus vite. Des coups ascendants et des coups descendants puissants et efficaces qui tuaient la plupart des gens sur le coups. Comme il en avait assez de s'entrainer en solitaire il déclara bien fort:
«Est-ce que quelqu'un veut s'entrainer avec moi?»

JOUR 6


Le baron réfléchissait, accoudé au bastingage. Il observait le répuragateur, qui fumait une pipe dans son coin, à l'ombre, jetant des regards suspicieux à tout le monde. L'équipage faisait de son mieux pour ne pas réagir, mais il était évident que sa présence rendait mal à l'aise les marins, et ils n'étaient pas les seuls. Von Trucken repensa à la confrontation qu'il avait eu avec ce prêtre de Sigmar. Apparemment, il les suspectait d'avoir tué un autre prêtre, et avait donc envoyé le frère Jaeger pour enquêter. Il n'en croyait pas un mot. Il avait vu suffisamment de choses au court de sa vie pour savoir que l’Église ne plaisantait pas avec l'hérésie et les sacrilèges. S'ils avaient vraiment voulu châtier le coupable, ils les auraient tous fait brûler pour être sûr de ne pas laisser s’échapper un hérétique corrompu. Von Trucken avait déjà vu les répurgateurs faire bien pire pour des motifs beaucoup moins graves. Non, Jaeger n’était pas à bord pour arrêter un criminel, il ne s’agissait que d’un prétexte pour rejoindre l’expédition. Mais dans quel but ? Voulait-il détourner le navire où avait-il entendu parler de leur objectif et en profitait-il pour régler des affaires personnelles ou celles de l’Eglise ?
Il fut interrompu dans ses réflexions par des éclats de voix. Il tourna la tête. D’après ce qu’il comprenait, un marin avait surpris l’amazone qui sortait d’une cabine. Chose anodine, si l’on exceptait le fait que ce n’était pas la sienne. Le marin, peut-être influencé par la présence d’un membre de l’inquisition, et aussi par le fait qu’en tant que nouveau membre d’équipage il ne connaissait pas encore l’amazone, voulu savoir ce qu’elle fabriquait et lui barra le passage. Mauvaise idée. Il se retrouva brutalement projeté et maintenu au sol par une clé de bras très douloureuse et sentit le contact froid d’une lame contre sa gorge. Le baron se précipita pour éviter une effusion de sang, ayant déjà assisté à une perte de contrôle de la guerrière, et ne voulant surtout pas attirer l’attention du répurgateur sur cette dernière. Il était peut-être là sous un faux prétexte, mais ça ne voulait pas dire qu’il ne châtierait pas le coupable s’il le découvrait. Encore que dans ce cas, Von Trucken pariait sur l’amazone.
_ Arrêtez-vous ! Du calme ! Cet homme n’a pas voulu vous offenser, il ne s’agit que d’une légère maladresse, n’est-ce pas ? fit-il avec un regard appuyé vers le malheureux.
_ Oh oui ! Oh oui ! Ce n’était pas du tout mon intention ! Je regrette absolument mes paroles !
Sa voix, que la panique rendait aigüe et rapide, lui valut le dédain de l’amazone qui estima que sa lame ne méritait pas d’être tachée par le sang d’un être aussi lâche et méprisant. Elle le libéra donc.
Elle s’apprêtait à partir lorsqu’arriva Eugen Lutz. Celui-ci lui demanda la raison de sa présence dans sa cabine. Elle lui répondit qu’elle s’était simplement trompée, n’ayant pas encore parfaitement assimilé l’emplacement des cabines au sein du navire. Le mage la regarda d’un œil suspicieux, mais le baron soucieux d’éviter un combat, trancha et lui assura que ce n’était qu’un simple accident qui ne se reproduirait pas. Il attendit l’acquiescement de K’aylïa, mais elle était déjà partie. L’incident était donc clôt. Il remarqua que Jaeger, qui n’avait pas bougé d’un pouce, n’avait rien manqué de la scène et regardait la guerrière s’éloigner d’un regard pensif.
Soudain « La Méduse » s’arrêta brusquement. Tous furent projetés au sol par le choc.
_ Mais qu’est-ce qui se passe ? Hurla le capitaine Ronkof
_ Je sais pas capitaine, on est bloqué le navire doit être pris dans un récif.
_ Un drôle de récif alors. Parce que moi, je n’en ai jamais vu avec des tentacules, répliqua Bjorn en pointant du doigt le bord de l’embarcation.
Ils regardèrent tous dans cette direction et se rendirent compte que des tentacules de pieuvre emprisonnaient le navire et l’empêchait de bouger. Certaines d’entre elles étaient déjà en train de déborder sur le pont.
_ Mais qu’est-ce que…
Eugen fut interrompu par le cri de guerre du tueur nain, suivi de près par celui de l’impact du tentacule sur son torse et du vol plané qui en résulta, l’envoyant presque par-dessus bord, mais il fut heureusement rattrapé par Rugell.
_ Halte ! Tonna une voix.
Ils regardèrent en l’air et virent une femme, vêtue d’une robe bleue recouvrant tout son corps, qui se tenait gracieusement sur un tentacule qui la surélevait.
_ Une enchanteresse bretonienne, commenta Erïel.
_ Madame, commença le baron, que signifie…
_ Vous entrez en territoire sacré. Seuls ceux ayant démontré la pureté de leurs âmes peuvent passer !
_ Depuis quand les bretonniens se servent-ils de pieuvres géantes comme monture ? lança Marek.
Un tentacule vola et l’envoya rejoindre Bjorn.
_ Un mot de plus et c’est la mort pour tous !
Von Trucken jeta un regard inquiet vers les autres, notamment vers l’amazone qui brûlait d’en découdre, et vers le répuragateur qui devait certainement avoir chargé une balle bénite dans ses pistolets, avide d’afficher une sorcière de plus à son tableau de chasse. Mais étrangement, il restait calme et ne bougeait pas, se contentant d’observer.
_ Que faut-il faire pour prouver notre pureté ? Risqua Erïel.
_ Répondez à l’énigme divine. Seules les âmes pures peuvent en trouver la réponse.
_ Et si nous ne la trouvons pas ?
_ Vous rejoindrez les autres impurs au fond de cet océan.
Les aventuriers se tournèrent les uns vers les autres, indécis de la décision à prendre.
Que faire ?


HRP/Premier choix multiple du RP :
1) Repartir et trouver un autre chemin
2) Tenter de répondre à l'énigme
3) Attaquer l’enchanteresse et son monstre en espérant bénéficier d'un effet de surprise
Le choix qui aura le plus de vote sera validé/ En cas d'égalité, je tranche/HRP

Après avoir écouté les avis de l'équipage, le baron opta pour l'énigme.
_ Très bien, nous t'écoutons. Quelle est ta fameuse énigme ?
La bretonienne leur jeta un regard, qui signifiait clairement qu'elle considérait cela comme une perte de temps total. Ce regard faisait beaucoup penser à celui de l'amazone face à des hommes qui la sous estimaient. Juste avant qu'elle ne leur arrache leur virilité...
"_ Il se passe beaucoup de chose sur son fil,
Il apporte à la fois la mort et la vie,
Il fait rouiller le métal et détruit des montagnes,
On peut le repousser, mais pas lui échapper"
Après ces paroles sibyllines, la femme se tut. Devant les regards étonnés des aventuriers, elle ajouta :
"Vous avez droit à une seule chance, donnez la mauvaise réponse et c'est la mort."
Ils se mirent aussitôt à réfléchir.


HRP/ Voilà, donc vous pouvez proposer vos réponses soit aux autres et voir leur réaction, soit la donner directement. Mais à vos risques et périls !/HRP

Eugen était satisfait que le choix de tout le monde se soit porté sur l'énigme, chose dans laquelle il était plutôt doué car son père lui avait appris et l'avait forcé à utiliser son cerveau dès son plus jeune âge. Lorsque l'enchanteresse leurs eut donné l'énigme il se mit immédiatement à réflechir. Au bout d'un certain temps il commença à développer un raisonnement. Un raisonnement somme-toute assez simple mais malgré tout plutôt efficace. Le fil au premier abord lui avait fait penser à la lame. Pour lui la mort et la vie cela pouvait être beaucoup de chose mais il y avait pour possibilité le temps. Faire rouiller le métal et détruire les montagnes c'était l'eau ou le temps. De plus on peut repousser le temps mais pas y échapper car la vieillesse nous rattrape toujours quoi que l'on fasse. Sans oublier l'expression que l'on peut dire "le fil du temps". Il prononça donc à voit haute:
«Je pense avoir la réponse, on peut dire le fil du temps sur lequel il se passe de très nombreuse chose, l'eau détruit le montagne et fait rouiller mais seulement avec du temps. On peut aussi repousser le temps ou la vieillesse mais il nous rattrape quand même forcément car on ne peut lui échapper. Et le temps apporte la vie par la naissance et la mort. Donc je propose le temps. Qu'en pensez vous, vous autre?»
HRP/c'est assez court mais je ne voyais pas comment développer plus malheureusement/HRP

L'énigme de la sorcière bretonienne semblait simple, Hirrh n'eut pas le temps d'exprimer son avis que le sorcier céleste l'avait déjà fait. Son raisonnement était clair, simple et logique. Le sorcier du collège de la Mort chercha encore quelques instants un piège dans la question, mais malgré la réflexion il n'en voyait pas. Le mage jeta un regard furtif en direction des tentacules et de l'enchanteresse, semblant jauger le risque avant de donner son avis.

Finalement sous l'ombre de son capuchon sa voix froide et détachée se fit entendre, sans quitter des yeux la sorcière.

"Le temps semble tout indiqué effectivement, je partage l'avis de l'astromancien."

Hirrh avait parlé bas volontairement pour ne pas risquer que sa réponse soit prise comme étant définitive par la femme. Le sorcier noir souhaita intérieurement que les autres membres d'équipage ne brouillent pas l'esprit du baron avec des réponses erronées, et que le groupe pourrait se sortir rapidement de cette situation tendue. Le regard toujours voilé par l'ombre, Hirrh observait la sorcière d'un œil intéressé.

*Je suis malgré tout curieux de voir quel genre de pouvoir elle possède...*