Promenade en Lustrie ; Le RP !

" Qu'est ce que c'est que cette mascarade !?! " Songea le mage, puis :
" Je dois avouer qu'elle sait soigner ses entrées mais c'en est trop, d'abord le répurgateur puis cette humaine dérangée, mmm... Le fil ? "

Il se décida à interpeller la damoiselle :
-"Gente dame ! "
Elle tourna la tête vers sa direction avec toujours son air menaçant et toisant l' assistance .
-"Vous semblez fort aise de vous en prendre à nous sur votre kraken mais dîtes nous ce qui vous préoccupe ?
 Qu'avons nous fait pour mériter l'afflux de votre courroux ? Peut être sommes nous ignorants de vos coutumes mais peut être avez vous besoin de notre aide ? Peut être pourrions nous tout simplement répondre à quelqu'une de vos exigences si toutefois vous nous laissiez rejoindre le fleuve Amaxone, nous sommes ici de passage et nous ne resterons pas pour vous importuner ."
Draemeth serrait bien fort son sceptre d'annulation dans sa main moite.

Lorsque Eugen compris que son idée ne faisait pas l'unanimité il se mit à continuer de réflechir. Il se rappella que dans son livre il avait peut-être un sort utile. Il se préparait à aller chercher son livre lorsque Draemeth tenta de parlementer et que la sorcière lui réexpliqua et précisa que Briselame, le monstre sur lequel elle était impatient. Il ouvrit donc son livre et rechercha sa formule, il l'a trouva enfin lorsqu'il se souvint qu'ils avaient en face d'eux une magicienne il prit donc un de ses cristaux réceptif à la magie qu'il avait précedement chargé. Ainsi la magie qui se dégagera lors du lancement du sort n'émanera pas de lui ce qui fera que la sorcière aura du mal à retrouver et identifier le lanceur. Saisissant son livre il commença, en focalisant son esprit sur un cristal il se mit à invoquer le second signe d'amul, un des nombreux sorts de divination du collège céleste, de sa voit profonde et vibrante: Azyr gabayan ang aking mga pagpipilian sa tamang direksyon, at sa gayon na maaari naming ipagpatuloy ang aming misyon. Ang ikalawang pag-sign ng amul kailanman! (HRP/second signe d'amul, 1pm/HRP) La vision correspondante devrait arriver d'ici peut maintenant. La sorcière réussi malheureusement à empecher une vision claire de se manifester. Eugen vit donc succesivement dans sa vision un sablier puis un lien. Il cru également voir une étendue d'eau mais pensa qu'il s'agissait d'un message caché ou d'une chose en rapport avec l'environnement où ils se trouvaient. Il déclara donc à tout l'équipage:
«La réponse à déjà été donnée par l'un d'entre nous, je ne saurais dire lequel mais je peut affirmer qu'elle a été dite. Je propose donc de voter pour choisir la réponse que nous donneront. Qu'en pensez vous?»

Après une courte discussion avec ses compagnons, Eugen décida de voter et ce fut le temps qui l'emporta. Eugen porta donc la réponse du groupe à l'enchanteresse pendant que certains se préparaient en vue d'un combat:
«Nous pensons que la solution de l'énigme est le temps.»
L'atmosphère était tendue, tout le groupe surveillait la sorcière en attente de la réponse qui allait décider de leur sort.

La réponse d'Eugen tira une grimace à l'enchanteresse. Manifestement, ce n'étais pas la réponse qu'elle attendait.
- Bonne réponse, se contenta-t-elle.
L'équipage souffla de soulagement. Ils n'allaient finalement pas devoir se battre contre ce kraken géant.
Après un dernier regard noir l'enchanteresse leur tourna le dos et la créature commença à s'enfoncer.
Mais soudain, une détonation claqua, et ils virent la bretonnienne s'écrouler, et tomber à l'eau.
Tous se tournèrent pour voir le répurgateur, son pistolet encore fumant et pointé sur la tête de la magicienne.
Avant qu'ils ne purent esquisser le moindre geste, il activa une des tourelle du navire qui envoya deux boulets rouges dans la gueule de la pieuvre. Celle-ci éclata dans un cris de douleur, avant de sombrer.
- Mais vous êtes fou ou quoi ? Tonna le baron, elle nous laissait passer il n'y avait pas besoin de la tuer.
- Je déteste être menacé, répliqua l'autre, et de cette façon, j'ai certainement sauvé la vie d'autres équipages moins malins que le votre, ajouta-t-il d'un ton qui laissait entendre que cette raison lui paraissait beaucoup moins importante que la première. Capitaine ! Le danger est écarté, nous pouvons reprendre la route non ?
Et il redescendit dans sa cabine, les laissant tous abasourdis par ses actes.

Après que cet abruti de répurgateur eut tiré sur la sorcière et se fut retiré dans sa cabine Eugen se rapella que K'aylïa était allé dans sa cabine et alla donc voir dedans afin de voir ce qu'elle y avait fait mais rien n'avait été dérangé. Il pouvait donc être assez tranquille ainsi et alla donc sur le pont pour profiter de l'air de la mer et comme l'enchanteresse l'avait empecher de faire ce qu'il voulait et s'assit donc à son poste habituel pour regarder les étoiles et ainsi il pourrais continuer sa carte céleste. Au lieu de s'entrainer après avoir fait sa carte il alla aider l'équipage lors des manoeuvres à la voile. Puisqu'il y avait un vent plutôt bon et dans la bonne direction il n'y avait rien de bien difficile à effectuer. Comme il n'y avait pas grand chose à faire Eugen alle finalement méditer et recharger le cristal dont il avait fait usage. Pendant sa méditation il envoya un simple message:
"Vient ce-soir, je me débrouillerais pour être de garde mais reste discret"
          Après ce message mental Eugen décida de s'exercer à la télépathie car comme tout les sorciers il en était parfaitement capable bien que ce soit plus simple avec d'autres mages. Il se contentait d'envoyer son esprit vers les matelots pour percevoir le court de leurs pensées. Une fois cet exercice fini au bout d'une petite heure d'entrainement Eugen décida de s'occuper d'une toute autre façon, il commença donc à reviser les rudiments de saurien qu'il possédait maintenant. Ce n'était peu être pas un langage facile à maitriser mais il leur serait sans nul doute très utile. Il pensa d'un seul coup à un problème important qu'ils rencontreraient quasiment à coup sur en Lustrie. Il alla donc voir le baron qui était, apparement, perdu dans ses pensées. Il s'adressa donc à lui:
«Monsieur Von Trucken, je viens de penser à un léger problème que nous risquons de rencontrer une fois à destination.
-Oui, quel est donc ce problème?
-Et bien, après avoir consulté de nombreux documents concernant le Nouveau Monde et apparement on y trouverait une grande quantité de créature mortelle reptilienne ou non. La plupart son venimeuse. Le problème que nous rencontreront est que peu importe l'endroit où nous établiront le campement nous risquons d'être assaillit.
-Et donc en quoi cela nous posera problème?
-Et bien je voulais savoir si vous aviez déjà trouvé un de nous mettre en sécurité.
-Pas encore je le craint. Mais soyez assuré que je vais tenter de trouver un moyen.»
Eugen le remercia d'un signe de la tête puis alla réflechir lui même à un moyen de dormir en paix une fois arrivé.
         Ne sachant quoi faire maintenant qu'il était en sécurité il choisit finalement de s'entrainer de nouveau au sabre. Il connaissait un grand nombre de coup assez efficaces mais malgré tout il savait pertinement qu'il pouvait encore s'améliorer. Il commença donc à s'entrainer et lentement il amorça ses mouvement en se fiant uniquement à ses sens surnaturels. Il s'était souvent légerement blessé en utilisant cette méthode mais elle lui serait très utile dans certains cas comme par exemple lors de combats nocturnes ou souterrains. Puisqu'il n'y avait pas beaucoup de choses à faire sur le navire il continua de s'exercer mais senti malgré tout une énergie très familière assez près d'où ils se trouvaient.
         Il alla voir le marins qui serait de garde la nuit venu et il lui proposa de prendre sa place à partir d'environ 23h. Étrangement le matelot accepta immédiatement. Eugen allait pouvoir faire ce qu'il veut ce soir. Une fois dans sa cabine il retourna à sa méditation afin d'envoyer un message et de se détendre. Le message était clair et concis, il ne contenait que l'essentiel. Lorsqu'il ressortit de sa cabine un léger sourire flottait sur ses lèvres. Il allait revoir son ami d'ici peu de temps.
         N'ayant plus aucune chose à faire il décida de se promener sur le pont et de profiter plainement de l'air marin tout en réfléchissant au problème du bivouac.

Alors que Eugen avait terminé son marchandage pour le tour de garde et était partit se promener sur le pont il se rendit compte qu'un port était visible au loin et qu'il se dirigeait vers lui. Une demi-heure plus tard ils étaient à destination.
Une fois au port il choisit immédiatement de descendre en ville, il lui fallait faire quelques achats qui seraient utiles en Lustrie, un couteau plus solide que ses kunaïs, une corde et une seconde gourde. Il partit donc à la recherche de ces produits dans les échoppes. Le plus gros soucis était que les magiciens était mal vus, particulièrement par les enchanteresses. Toutefois les paysans très supersticieux le laissait en paix.
Il commença par arriver dans une cordonnerie. Afin d'acheter sa nouvelle gourde qu'il choisit d'une bonne contenance et solide. Il partit ensuite à la recherche d'un magasin qui vendait des cordes pour en acheter une de 20 mêtres. Il en finit par en trouver une de 10 mêtres et en acheta donc deux. Comme il cherchait également un couteau particulier, avec une lame classique d'un coté et avec une lame dentelée de l'autre il partit à la recherche d'une coutellerie.
Au bout d'une longue promenade dans la ville il finit par trouver ce qu'il lui fallait comme magasin. En entrant dedans il vit qu'il avait frappé à la bonne porte, il y avait un nombre incroyable de lames et put donc choisir exactement celle qu'il lui fallait. D'une longueur de presque 5 pouces et d'une largeur d' un peu plus de 1 pouce. Il acheta également une petite gaine et une pierre à affuter.
Eugen rentra ensuite au bateau pour ranger ses achats et méditer.

Sous le clair de Lune, l’individu courrait à bonne allure. Plusieurs dizaines de pas derrière lui, résonnaient les cris de plusieurs gardes « Halte, arrêtez-vous ! » Faisant fit des ordres donnés par ses poursuivants, l’homme à capuche maintenait son allure, prenant au hasard des ruelles sombres et étroite, espérant distancer la garde citadine. Au hasard d’un angle de rue, l’homme entra en collision avec un individu, le fuyard tomba et se releva presque instantanément. Cela-dit, sa chute avait permis à ses poursuivants de réduire l’écart qui les séparait. L’homme encapuchonné reconnu la rue, celle où les activités nocturnes sont omniprésentes. Il se faufila donc dans ce boulevard, où une foule d’ivrognes, de bandits et de catins se bousculaient. Agile, il évitait les passants aisément, ce qui n’était pas le cas des gardes, encombrés de leurs lames et de leurs armures. Au détour d’un coin sombre, il profita d’être hors de vue de ses poursuivants pour prendre appui sur un baril. Il s’élança, et saisi du bout des doigts le rebord d’une fenêtre ouverte, puis s’y faufila. Dans la pénombre de la pièce, il entendit les gardes crier « Où est-il allé ? Séparez-vous et trouvez moi ce foutriquet, allez, allez ! » Soulager d’avoir semé ses poursuivants, l’homme soupira, quand soudain, la porte de la chambre s’ouvrit, laissant apparaitre une femme aux cheveux noirs, faiblement vêtue d’un voile en soie transparent. La femme, tenant un chandelier aperçu l’homme, elle ouvrit la bouche pour crier, mais aucun son ne sorti, à la place elle bégaya : « S’il vous plaît messire, ne me faite aucun mal ». A ces mots, le voleur enleva sa capuche et répondit « N’ayez crainte ma Dame, je ne vous veux aucun mal, j’essaye juste de mettre le plus de distance possible entre moi et mes…problèmes. Et je ne suis pas un messire » La femme eu un sourire en coin, elle fit tomber le voile en soie qui la couvrait et ajouta « Si vous voulez restez à l’abri dans cette chambre mon chou, c’est cinq pièces d’argent pour la nuit. Et je vous promets un sommeil en Or. » En guise de réponse, l’homme plongea la main dans sa bourse, en sorti 7 pièces et les posa sur la table de chevet. « Un petit bonus pour votre… « Hospitalité » ma Dame ».

Lorsque l’Aube frappa aux paupières de l’homme, celui-ci réveilla. Il regarda attentivement la fille-de-joie qui dormait à ses coté. Le soleil caressait sa peau blanche, faisant ressortir ses formes rebondies, ainsi que les éclats d’ébène de ses cheveux. Sa beauté semblait illuminer la pièce, apportant une atmosphère chaleureuse et réconfortante. L’homme se leva sans un bruit, se rhabilla, saisit la couverture et borda sa Muse d’une nuit, sans la réveiller. Il resta encore cinq minutes à contempler l’Aphrodite endormie, puis s’en alla.

L’homme quitta le bordel, et quelques dizaines de mètres plus loin, il glissa la main dans sa poche, et en sorti une bourse, puis une deuxième. Il avait pris soin de laisser les sept pièce d’argent sur la table de chevet, mais s’était emparer de la totalité de la recette de sa conquête. Fier de sa fourberie, il sourit. Ensuite, dans un coin tranquille, il posa son sac au sol, et en sorti le fruit de sa rapine. Une magnifique arbalète de poing de maître, dérobée sous les yeux même de son commanditaire. Le coup était risqué, la beauté de l’arme lui rappelait celle de la fille-de-mauvaise-vie qui avait partagé son lit la veille. « Celle là, je vais me la garder » se dit-il en remettant l’arbalète au fond du sac.

Le soir même, alors qu’il suivait la prochaine victime de son larcin, auprès des quais, il tomba né à né avec un garde. L’homme baissa la tête, espérant passer inaperçu. Mais le garde fît une halte, et le dévisagea. « Vous là, arrêtez vous ! » Le voleur continua, comme s’il n’avait pas entendu. Le garde s’avança, et le saisit par le bras. La réponse du cambrioleur fût instantanée, il se retourna et lança son genou dans l’entre-jambe du garde, qui, le souffle coupé, tomba au sol en se dandinant. Le voleur, prit deux seconde de réflexion, puis s’enfut. Derrière lui, le garde hurlait avec une voix plus aigüe que d’habitude « Alerte ! Alerte ! Arrêtez-le ! »
Quelques minutes plus tard, une troupe de gardes barra le chemin du voleur. Il fît demi-tour, une autre troupe vint le coincer. Il en leur fallu que quelques seconde pour l’encercler totalement.
L’homme jeta un œil derrière lui, il était dos au port, il prit une profonde inspiration, se laissa tomber à la renverse, et disparut sous la surface verdâtre de la mer. Les gardes qui possédaient une arbalète tirèrent dans les eaux troubles du port. Mais le fuyard ne réapparu pas.

Ranlindir, car tel était son nom, surgit des eaux derrière la coque d’un navire, hors de vue de la garde. Sa jambe le faisait atrocement souffrir et l’eau prit une teinte pourpre autour de lui. S’accrochant au cordage d’un navire, il tâta sa jambe de sa main libre, et découvrit la présence d’un carreau, profondément enfoncé dans sa chair. A la force de ses bras et de sa seule jambe valide, il escalada les cordages, monta dans le navire, et sa cacha dans la cale, où il espérait pouvoir panser sa plaie. Une fois à l’abri dans un coin sombre de la cale, et malgré la douleur qui le gagnait, il repensa qu’il n’avait pas effacé les traces de sang sur le pont. Il voulu se lever pour corriger son erreur, mais la souffrance le terrassa, il ferma les yeux puis s’évanouit.

[HRP] Mon personnage ne sera découvert par l'un d'entre vous qu'une fois que le navire aura jeté l'ancre, son sort et entre vos mains[/HRP]

Puisque le bateau resterait au port durant la nuit Eugen décida d'aller sur le pont car la plupart des marins étaient dans les tavernes du port. Le sabre à la ceinture et son bourdon dans la main il se posta assez proche du mat où était fixé une torche pour réfléchir un instant. Soudain un battement d'aile se fit entendre, Eugen se retourna vivement et fut rassuré en reconnaissant la silhouette familière du busard. Eugen s'approcha et put enfin voir les yeux de l'animal qui était de la couleur du Saphir véritable, la Pierre de Magie d'Azyr. Il était maintenant plus tranquille puisqu'il savait que son familier allait bien comme quoi Gunther Grunweld s'en était bien occupé en vue d'un possible voyage avec leur ami Reiner Volman du collège gris et lui même.

Lors de leur discussion Eugen prit donc le temps de demander des nouvelles de ses amis qu'ils n'avait plus vus depuis 5 ans. Il s'informa également des intrigues et des affaires politiques de la cour impériale. Et enfin il demanda des nouvelles de la Guilde des Magiciens et des Alchimistes, qui était toujours en reconstruction, ainsi que des informations sur le collège céleste. Lorsque le busard commença à le questionner, Eugen lui fit par de ses soupçons à l'égard du répurgateur et des doutes qu'il avait sur les motivations de ce dernier. D'après le rapace le patriarche lui demandait donc de relever le plus d'information possible. Raphaël Juvelno lui demandait également de ne pas oublier l'intérêt de document Lustrien traitant de la magie car leur contenu pourrait les éclairer d'avantage sur la manipulation de la magie. Il lui donnait également de nombreuse information sur la Lustrie et sur la plupart des races et des espèces qui y vivaient.

Comme rien ne pressait vraiment et qu'il lui restait du temps avant que les marins ne reviennent, Eugen choisit de s’entraîner avant d'aller flâner en ville. Eugen commença donc à travailler ses katas. Il commença par les plus simples pour aller crescendo dans la difficulté de ses enchaînements. Il arrêta finalement son entrainement lorsqu'il crut voir une ombre passer prêt de lui. Il décida donc de fouiller le navire en pensée et physiquement pour retrouver l’intrus qui se trouvait sur le bateau. Toutefois il ne trouva rien de particulier. Il demanda à son familier si il n'avait rien vu et celui-ci lui dit que non. Eugen décida donc de retourner fouiller le bateau demain.

 
Il partit finalement en ville vers les hauteurs son familier sur l'épaule. L'air était particulièrement doux une fois à bonne distance du port. Par contre peut importe l'endroit l'odeur ne changeait guère entre les quartier pauvres et les quartiers riches. Alors qu'il revenait au bateau une patrouille d'Hommes d'arme l’interpella afin de l'interroger sur un voleur qui serait caché au port. Comme il n'avait rien vu leur sergent le laissa partir. Il rentra rapidement au bateau. Une fois rendus au bateau il rentra dans sa cabine pour s'endormir en posant sa tête sur l'oreiller.